La vie en rose of a young Congolese cadre switches on March 12, 2009, in total uncertainty. The Foundation MZee Laurent-Désiré Kabila serology lab detects the presence, in his body, of the virus responsible for AIDS. Aware of his status, the infected immediately initiates a cure to the Divine Breath Foundation (Fondation Souffle de Vie), in Masanga-Mbila neighborhood in the municipality of Mont-Ngafula in Kinshasa (DRC).
This therapy uses natural substances from the tropical fruit, vegetables, and other edible plants. It is a combination of virucides, bactericides and microbicides. These products "Divine breath" - liquid, powdery, muddy - would provide "a full and final healing", according to statistics revealed to the ACP which indicate that between 2005 to 2010 "more than 100 people were admitted to this treatment and are all permanently cured."
Cancer question
Six months later, the patient undergoes a series of reviews of evaluation of midterm, bearing on the viral load and the amount of CD4 cells, which proved to be encouraging. He then submits to a further review to determine his current serology. This review takes place successively in the Amo Congo NGO (November 16, 2009), to the Ngaliema clinic (January 5, 2010) and the Centre of promotion of health of the reproduction, education for a responsible life and the well-being of children and young people in the Congo and to the Bonne Church (February 2, 2010). Conclusion: NO HIV.
The ACP reviewed records of cases of healing by doctors of the main hospitals of Kinshasa. This consultation is allowed to any person by former cured patients, as testimony and evidence. Foundation "Divine Breath", in operation since 2005, at the same time, heals all opportunistic diseases and desperate conditions.
Healings and testimonies
Heard by word-of-mouth, an Australian, who came from the distant Oceania, is healed of cancer of the bone in 2010, in Kinshasa. A former Minister and his wife, originating from Central Africa, cured of AIDS, reflect their recognition by a donation of equipment for the manufacture of tablets, to the Divine Breath Foundation.
A diplomat, rid of herniated disc and his sister, a former Minister of an East Africa, country, cured of AIDS, with the agreement of their Prime Minister and the President of the Republic, invite the Divine Breath Foundation to visit their country. The prevalence rate there is one of the highest in the world.
Two cases of cancer, including a terminal, are being processed. Three to four tumors in the breast of a female employee soften and break in cleansing from pus. The medical file of this woman, considered unrecoverable, was dismissed by Indian doctors, in New Delhi that he predicted in addition that the woman would barely live up to five (5) days. Another woman, from the deep Congo, is healed from her a malignant cancer in her right breast inordinately inflated.
"We are not advertising because we do not yet have infrastructure to allow 100 people at a time", entrusts the ACP Kabeya Kaninda, co-editor with his wife, Veronique Kabeya Kake Mazemba, of the divine breath Foundation.
This former senior army officer cares "power leads to things, the correct information related to this cure against HIV/AIDS." "Divine breath" products are "divine inspiration", whose Kabeya Kaninda describes, in specific technical terms, the scientific process of manufacturing and administration in the book "Curative treatment against HIV/AIDS/healing full and final" (May 2011).
ORIGINAL FRENCH VERSION FOLLOWS
La vie en rose d’un jeune cadre congolais bascule, le 12 mars 2009, dans une totale incertitude. Le laboratoire de sérologie de la Fondation M’Zee Laurent-Désiré Kabila détecte la présence, dans son organisme, du virus responsable du VIH/SIDA. Mis au courant de son état sérologique, l’infecté entame aussitôt un traitement curatif à la Fondation Souffle Divin, au quartier Masanga-Mbila, dans la commune de Mont-Ngafula, à Kinshasa (RDC).
Cette polythérapie recourt aux substances naturelles tirées des fruitiers tropicaux, des légumes, des autres plantes comestibles. C’est une combinaison des virucides, des bactéricides et des microbicides. Ces produits « Souffle Divin »- liquides, poudreux, vaseux – procureraient « une guérison totale et définitive », à en croire des statistiques révélées à l’ACP qui indiquent que, dans l’intervalle de 2005 à 2010, « plus de cent personnes ont été admises à ce traitement et sont toutes définitivement guéries ».
Cancer concerné
Six mois après, le patient subit une série d’examens d’évaluation de mi-parcours, portant sur la charge virale et la quantité des cellules CD4, qui se révèlent encourageants. Il se soumet alors à un autre examen susceptible de déterminer sa sérologie actuelle. Cet examen s’effectue successivement à l’ONG Amo-Congo (16 novembre 2009), à la Clinique Ngaliema (5 janvier 2010) et au Centre de promotion pour la santé de la reproduction, l’éducation pour une vie responsable et le bien-être des enfants et jeunes au Congo, à l’Eglise La bonne (2 février 2010). Conclusion : Absence d’anticorps anti-VIH.
L’ACP a compulsé des dossiers des cas de guérison attestée par des médecins des principaux hôpitaux de Kinshasa. Cette consultation est autorisée à toute personne par les anciens malades guéris, à titre de témoignages et de preuves. La Fondation « Souffle Divin », en activité depuis 2005, soigne, concomitamment, toutes les maladies opportunistes et des pathologies désespérées.
Guérisons et témoignages
Instruit par le bouche-à-oreille, un Australien, venu de la lointaine Océanie, trouve guérison de son cancer des os en 2010, à Kinshasa. Un ancien ministre et son épouse, originaires de l’Afrique centrale, guéris de SIDA, témoignent leur reconnaissance par un don d’un équipement de fabrication des comprimés, à la Fondation Souffle Divin.
Un diplomate débarrassé d’hernie discale et sa sœur, une ancienne ministre d’Afrique Orientale, guérie de SIDA, invitent, avec l’accord de leur Premier ministre et de leur Président de la République, la Fondation Souffle Divin à se rendre dans leur pays. Le taux de prévalence y est l’un des plus élevés au monde.
Deux cas de cancer, dont un en phase terminale, sont en cours de traitement. Les trois à quatre tumeurs dans les seins d’une employée se ramollissent et se désagrègent en expurgeant des pus. Le dossier médical de cette femme, jugé irrécupérable, a été rejeté par les médecins indiens, à New-Delhi qui lui prédisaient, en outre, cinq (5) jours de vie, à peine. Une autre femme, venue du Congo profond, soigne son sein droit démesurément gonflé par un malin cancer.
« Nous ne faisons pas de la publicité parce que nous n’avons pas encore d’infrastructures conséquentes pour accueillir cent personnes à la fois », confie à l’ACP Kabeya Kaninda, coresponsable avec son épouse, Véronique Kabeya Kake Mazemba, de la Fondation Souffle Divin.
Cet ancien officier supérieur de l’armée se soucie « de pouvoir amener aux uns et autres, l’information correcte liée à ce traitement curatif contre le VIH/SIDA ». Les produits « Souffle Divin » sont « d’inspiration divine », dont Kabeya Kaninda décrit, en des termes techniques précis, le processus scientifique de fabrication et d’administration dans l’ouvrage « Traitement curatif anti VIH/SIDA/Guérison totale et définitive » (mai 2011).
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