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Saturday 29 December 2012

The Assassination of Patrice Lumumba

For the learners of the Congolese history,
To those that are striving to understand how Congo got to where it is today,
To those that are willing to help us reconcile with ourselves and rebuild a NATION in the heart of Africa,
A country, a haven for all humankind,

PLEASE WATCH

http://www.youtube.com/watch?v=HtzfCMHX1Yg

Wednesday 19 December 2012

Et si la guerre du Kivu nuisait aux Tutsis congolais plus qu'elle ne leur profite?


RDC: Les Banyamulenge se dissocient des rebelles du M23
Et si la guerre du Kivu nuisait aux Tutsis congolais plus qu'elle ne leur profite ? Interview avec Enock Ruberangabo, président national a.i. de la communauté Banyamulenge
[Ruberangabo/mushobekwalikulia.net]
 
Le M23 est vu par l’immense majorité des congolais et de nombreux observateurs comme le successeur, voire la « réplique », le « déguisement »pur et simple du CNDP (Congrès National pour la Défense du Peuple), qui a toujours eu comme credo la défense de la « minorité Tutsi congolaise », tout comme, avant lui, le RCD (Rassemblement Congolais pour Démocratie) et, dans une certaine mesure, l’AFDL (Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Zaïre). L’agenda du M23, sa direction et son background ont vite fait d’intégrer dans cette arènepolitico-identitaire la guerre lancée par ce mouvement depuis le début de cette année. Mais les Tutsis congolais trouvent-ils en réalité leur compte dans cette guerre ? L’allégeance aux Tutsis au pouvoir au Rwanda par des politiciens et des officiers Tutsis congolais, le recours aux armes et à la violence au nom de la communauté Tutsi congolaise, servent-ils réellement la cause de cette dernière ? La réponse à ces questions et à beaucoup d’autres qu’elles induisent valent leur pesant d’or pour quiconque voudrait mieux appréhender les vraies dynamiques des guerres répétitives à l’Est de la RDC.
 
Enock Ruberangabo Sebineza, 54 ans, est le président ad interim de la communauté Banyamulenge (SHIKAMA) de la République Démocratique du Congo. Licencié en géographie de l’Institut Supérieur Pédagogique (ISP/Bukavu), ce notable Tutsi congolais assume depuis plusieurs années déjà d’importantes responsabilités tant dans sa province d’origine du Sud-Kivu qu’au niveau national. Il était notamment l’un des délégués de la société civile du Sud-Kivu au dialogue intercongolais, avant de siéger comme député national au parlement de transition (2003-2006). Il a aussi été Président du Conseil d’administration de la Société Sidérurgique de Maluku, à Kinshasa. Ceux qui le connaissent bien disent de lui que c’est un homme sincère, sage et respectable. Son franc-parler lui a valu parfois des incompréhensions de la part de ses interlocuteurs qui le traitent d'homme dur et opiniâtre. Mais, au sein de l'opinion dans les deux Kivu, il est surtout considéré comme faisant partie des modérés et des réfléchis.
 
A la veille du début, à Kampala en Ouganda, du « dialogue », entre la rébellion du M23 et le gouvernement congolais – « dialogue » auquel il a été convié en tant que représentant de leader de la communauté Banyamulenge –, nous l’avons approché pour avoir sa lecture de la situation, ainsi que, globalement, la position de la communauté Banyamulenge vis-à-vis de la crise actuelle dans les Kivus.
 
Jean-Mobert N’senga (J.M.) : Monsieur Enock Ruberangabo, le M23 prétend entre autres choses militer pour les droits des Tutsis congolais, et notamment pour l’éradication des génocidaires Hutu rwandais, en vue de permettre le retour des réfugiés Tutsis congolais réfugiés au Rwanda, depuis plusieurs années pour certains. Qu’en pensez-vous ?
 
Enock Ruberangabo (E.R.) : D’emblée, je vous dirais que l’on se sert tout simplement du nom des Tutsis congolais pour justifier des choses autrement injustifiables. Nous, les Banyamulenge, nous nous sommes opposés à cette guerre dès le début, comme nous nous étions opposés à celle du CNDP de Laurent Nkunda. Comment voulez-vous que l’on prétende lutter pour le retour de cinquante mille, disons même de cent mille réfugiés, alors qu’on provoque simultanément le déplacement du double, du triple, peut-être même du quadruple de ce nombre ? Comment peut-on prétendre servir une communauté alors qu’on accentue le ressentiment et le rejet à son égard parmi d’autres populations ? Ces réfugiés Tutsis qu’on veut voudrait rapatrier ont besoin de vivre avec leurs frères d’autres communautés, de s’entendre avec eux, de se réconcilier. Or, la violence et la guerre ne peuvent qu’exacerber la haine et l’exclusion, susciter le goût de la vengeance, etc.
 
J.M. : Qui est-ce qui a intérêt à se servir du nom de la communauté Tutsi congolaise, comme vous le dites ? Si l’on s’en tient à guerre que mène le M23, à qui profite-t-elle en fin de compte ?
 
E.R.: Ah ! Je ne veux citer personne. Mais ce qui est certain c’est qu’il y a des individus qui prétendent lutter pour la cause des Tutsis alors qu’en réalité ce sont leurs petits intérêts individuels qu’ils défendent. Il y a aussi des pays étrangers, comme le Rwanda qui instrumentalise nos problèmes pour ses propres intérêts. Et tout ça retombe sur le dos de toute la communauté qui ne gagne absolument rien dans ces guerres à répétition.
 
J.M. : Donc la guerre dans le Kivu n’a jamais été une affaire de la communauté Tutsi congolaise ou des Banyamulenge, en tant que tels ?
 
E.R. : Je n’ai pas dit cela. Ce que je dis, c’est que la guerre du M23, comme celles qui l’ont précédée ces dernières années, ne sont pas profitables aux Tutsis congolais, et que ceux qui la mènent ont tort de vouloir la présenter comme celle de toute une communauté alors qu’en réalité elle a d’autres causes, d’autres finalités, que les aspirations de ladite communauté. Si vous rentrez un peu dans l’histoire, on a tenté de nous dénier la nationalité, en indiquant le Rwanda comme notre patrie. Mais en ce qui concerne les Banyamulenge, il y a plusieurs générations qui n’ont jamais eu pour autre patrie que le Congo ; qui ne connaissent pas la moindre colline du Rwanda, n’y ont pas le moindre lien de parenté connu. La guerre de l’AFDL de 1996 (dont j'ai participé à la rédaction de ses premiers textes de création) a été qualifiée de « guerre des Banyamulenge ». Ce qui est vrai et faux à la fois. Vrai parce que les Banyamulenge s’y sont réellement investis avec l’espoir qu’avec le renversement du régime de Mobutu qui leur reniait leur citoyenneté, leur problème pourrait trouver une solution. Rappelez-vous que les Banyamulenge venaient à peine d’être officiellement déclarés étrangers le 28 mai 1995, dans une Résolution du HCR-PT (Haut Conseil de la République-Parlement de Transition, ndlr). Faux, parce que les Banyamulenge n’étaient pas les seuls à en vouloir à Mobutu. Tout le monde était fatigué de son régime ; la communauté internationale ne voulait plus de lui, les pays voisins non plus. En particulier le Rwanda, qui voyait se concentrer à sa frontière l’armée défaite de Habyarimana ainsi que les miliciens Interahamwe. Pour le Rwanda, le démentèlement des camps des réfugiés était une priorité absolue, pour sa propre sécurité. Il y avait donc convergence d’intérêts, dont celui des Tutsis congolais n’est qu’une composante. Cependant, à l’aube même de cette guerre, la nuit du  23 au 24 décembre 1996, il va apparaître de sérieuses divergences entre les Banyamulenge et le Rwanda. Ce dernier avait, au cours de cette réunion tenue à Butare au Rwanda, et à laquelle j’avais personnellement été convié, exprimé son intention de faire partir toute notre communauté et de réinstaller nos familles à Kibuye au Rwanda, sous le prétexte de leur éviter les représailles par les autres communautés. Nous nous sommes farouchement opposés à cette déportation/expulsion vers le Rwanda. L’idée nous semblait être du même ordre que celle du régime de Mobutu de nous expulser de notre terre au motif que nous n’étions pas des congolais. A l’époque déjà, notre refus d’obtempérer à ce plan n’avait pas plu aux autorités rwandaises, et je pense qu’elles ne nous l’ont jamais pardonné. Cette histoire tumultueuse entre nous et les rwandais a continué après l’arrivée de Laurent-Désiré Kabila au pouvoir, et même à l’époque du Rassemblement Congolais pour la Démocratie, le Rwanda essayant toujours de se servir de nos enfants et de nos revendications.
 
J.M. : Quel est, selon vous, l’intérêt qu’a le Rwanda à continuer à créer ou soutenir des conflits en République Démocratique du Congo ?
 
E.R. : Mais, mon cher ami…, ça c’est une question qu’il faut poser aux rwandais eux-mêmes ! J’ai l’impression que pour les rwandais, une République Démocratique du Congo instable leur est plus avantageuse qu’en paix, réconciliée elle-même, et engagée sur la voie du progrès. Il y a probablement des motivations d’ordre sécuritaire : comme diviser les Tutsis congolais et fidéliser une partie d’entre eux en leur montrant qu’ils n’ont pas meilleur allié, meilleur défenseur de leurs intérêts que le Rwanda, de sorte que ses propres ennemis n’y trouvent un terrain de raffermissement de leurs forces pour déstabiliser le régime au Rwanda.
 
J.M. : Vous pensez aux officiers rwandais jadis proches de Kagame qui ont fait défection depuis 2010 ?
 
E.R. : Oui, bien sûr. Sauf qu’en plus des considérations d’ordre sécuritaire, il peut y avoir d’autres d’ordre économique, voire géostratégique. L’Est de la RDC est une région très riche en ressources naturelles dont le Rwanda a besoin pour son développement. Il y a de l’espace, et vous savez que le Rwanda est surpeuplé. Enfin, bref : ce ne sont pas les raisons qui manquent au Rwanda ou à d’autres pays pour déstabiliser le Kivu. Et se servir des revendications des Tutsis congolais, c’est un moyen bien facile…
 
J.M. : Et la menace FDLR ?
 
E.R. : Les FDLR, malheureusement, c’est devenu un fond de commerce, voire un faux prétexte pour le Rwanda, une attitude qui frise la banalisation du génocide des Tutsis. Elles ont commis pas mal d’exactions, c’est vrai. Mais contre tous les  congolais.  Je ne pense pas que les FDLR constituent actuellement une menace sérieuse contre la sécurité du Rwanda, surtout que la RDC s'était engagée à la neutralisation conjointe de ces forces négatives mais que le M23 créé par le même Rwanda est venu arrêter ce processus. 
 
J.M. : Qu’est-ce qui prouve que les Banyamulenge sont contre la guerre et les immixtions du Rwanda ? Vous n’avez jamais fait rien qu’une déclaration publique pour dénoncer la guerre ou prendre des distances avec ceux de vos enfants qui seraient impliqués dans le M23…
 
E.R. : Je précise que nous sommes parmi les rares communauté du Nord et Sud-Kivu qui n'ont aucun membre dans cette pseudo-rébellion qu'est le M23. Toute la Communauté a rejeté ce projet initié par Kigali, elle  est contre la guerre, et contre l’utilisation de nos revendications, du reste fondées, par le Rwanda. J’ai déjà eu à le dire plusieurs fois, c’est connu. Auparavant, j’avais publiquement dénoncé la guerre de Bukavu par Laurent Nkunda et Jules Mutebutsi, etc. S’il y a, parmi nos frères politiciens, ceux qui gardent silence, cela ne veut pas dire forcément qu’ils cautionnent la guerre du M23. Ceux qui ont un jour ou un autre travaillé avec le Rwanda ont gardé en eux une sorte de peur noire vis-à-vis de ce pays, et cela explique peut-être leur réserve. Mon franc-parler à moi me vaut souvent des incompréhensions, ce qui est aussi parfois normal. Les gens pensent que je suis suicidaire. Rappelez-vous par exemple le plan du M23 de prendre la cité d’Uvira, vers le mois d’avril ou de mai. Eh bien, ce sont les militaires FARDC issus de notre communauté qui, bien sûr avec leurs compagnons d’autres communautés, ont fait capoter le plan du colonel Bernard Byamungu et qui ont fini par l’arrêter. 
 
J.M. : Les conséquences de la violence permanente dans le Kivu sont incommensurables pour l’ensemble de la population dans son ensemble. Qu’en est-il en particulier pour les Tutsis congolais et les Banyamulenge ?
 
E.R. : Ecoutez, dans cette guerre les Tutsis sont doublement perdants. D’abord, nous subissons la guerre et la violence comme les membres des autres communautés : tueries et autres violations, déplacements, exile, pauvreté, etc. Ensuite nous subissons l’indexation du reste des 60 millions des congolais, qui nous désignent collectivement comme étant à la base de tous leurs malheurs : des accusations de toutes sortes, la méfiance, le mépris, la haine, et parfois même la violence, sont dirigées contre les Tutsis. Donc la guerre ne fait qu’empirer notre situation et notre condition. Elle entretient cette marginalisation que des gens prétendent combattre. L’allégeance de certains de nos frères (y compris des Hutu congolais, d’ailleurs) avec le Rwanda renforce malheureusement le sentiment parmi les autres communautés que nous ne sommes pas suffisamment des congolais, que nous complotons contre le Congo, etc. Or, il est toujours impossible pour le commun des gens de faire la différence entre les personnes qui sont individuellement à la base de ces choses, et la majorité des Tutsis ordinaires qui souvent n’ont rien à faire avec les intrigues politiciennes et militaires. Comment, dans ces conditions, espérer faire retourner cinquante mille réfugiés Tutsis sur leur terre ? C’est tout simplement satanique. Je ne sais pas si nos frères qui prétendent faussement défendre notre cause réalisent le tort qu’ils causent injustement à toute une communauté, alors même qu’ils savent que depuis la nuit des temps on a déjà diabolisé le Tutsi, et que la violence infligée aux autres communautés est vécue par elles comme une humiliation qui appelle la haine et la vengeance,...
 
J.M. : Avez-vous le sentiment que les craintes, les conditions, et la position des Banyamulenge sont partagées par les autres Tustis congolais, en particulier ceux du Nord-Kivu ?
 
E.R. : Malheureusement pas encore, sauf certains d'entre eux. Nos frères du Nord-Kivu sont moins enclins à marquer des distances avec le Rwanda, pour des raisons à la fois historiques et géographiques. Nous, nous sommes établis depuis très longtemps assez loin de ce qui était devenu plus tard la frontière avec le Rwanda, le Burundi, voire la Tanzanie d’où nos ancêtres seraient venus. Nous n’avons pratiquement plus de lien avec ce pays ; nous en sommes presque complètement coupés. Nos enfants qui ont aidé le FPR à prendre le pouvoir sont depuis retournés au Congo par l'AFDL. Tandis que pour le Nord-Kivu, les choses sont différentes. Il y a cette proximité géographique, qui fait que les cordons n’ont jamais été coupés avec le Rwanda. Ce qui est normal, d’ailleurs. Mais en plus, il y a comme une survivance de la féodalité ; une sorte de dépendance séculaire et de docilité de la part des Tutsis congolais du Nord-Kivu à l’égard de ceux du Rwanda, une allégeance. Du coup, nous devons nous faire à la fois à l’incompréhension de la part de nos frères Tutsis du Nord-Kivu, et aux soupçons permanents de la part de nos frères congolais des autres communautés.
 
J.M. : Monsieur Ruberangabo, vous avez été convié à assister aux pourparlers qui commencent bientôt entre le gouvernement congolais et le M23. Comment voyez-vous l’issue de cette crise ? Croyez-vous que quelque chose de consistant et de durable sortira de ce dialogue ?
 
E.R. : Je crois que l’évolution des discussions va imposer une issue, même inattendue. Mais de toute manière, la solution passera par ce que Kagame et Kabila conviendront, car Makenga et Runiga ne sont rien. Remarquez qu’il y a autant d’intérêts, autant d’agendas qu’il y a d’acteurs. Je ne pense pas qu’au sein du M23, Makenga poursuit le même but que Kamabasu Ngeve, ou que Runiga a les mêmes objectifs que Rucogoza. Pensez-vous vraiment qu’un type comme Runiga se bat pour la bonne gouvernance au Congo ? Que dire de la crédibilité d’un Kambasu Ngeve, qui passe constamment d’un camp à un autre ?
 
Propos recueillis à Munyonyo (Ouganda), le 6 décembre 2012, par Jean-Mobert N’senga

 

Thursday 13 December 2012

BUSH AND OTHER WAR CRIMINALS MEET IN RWANDA : THE GREAT “ RWANDA GENOCIDE”– COVERUP

BUSH AND OTHER WAR CRIMINALS MEET IN RWANDA : THE GREAT “ RWANDA GENOCIDE”– COVERUP
 
Prof. Peter Erlinder, ICTR Lead Defense Counsel
President ADAD, the ICTR Defense Lawyers Association ©
 


As George Bush begins his much bally-hooed African safari, he has already begun to heap praise on Rwandan President Kagame as a “model for Africa .”   But, recently issued French and Spanish international “war-crimes” warrants and new evidence at the UN Rwanda Tribunal have exposed Kagame as the war-criminal who actually touched-off the 1994 “Rwanda Genocide” by assassinating the previous President and who is benefiting from a decades-long U.S.-sponsored “cover-up” of Pentagon complicity in massacres committed by Kagame’s regime, which even Britain’s Economist has called “the most repressive in Africa.” [1]
Multiple “War Crimes” AWarrants Issued for Rwanda ’s Leaders
Just last week, a Spanish Judge issued 40 international warrants for current and former members of Kagame’s government, including senior staff at Rwanda ’s Washington Embassy. The warrants charge Kagame’s clique with war-crimes and crimes against humanity, that may even fit the definition of “genocide.”  But, these are not the only international arrest warrants issued for Rwanda’s current leaders.
French Judge Bruguiere (famous for indicting “the Jackal”) has also issued international warrants against nearly a dozen members of Kagame’s inner circle, too.   Bruguiere also met with Kofi Annan in late 2006 to personally urge the U.N. Rwanda Tribunal to prosecute Kagame for the assassination of Juvenal Habyarimana, the war-crime that re-ignited the four-year Rwanda War and the massive civilian killings in the war’s final 90-days.
Could it be that no-one in the Bush Administration was aware of these pending charges against their Rwandan hosts….or is it that they just don’t care?   In either case, the French and Spanish international arrest warrants have pierced the wall of U.S./UK/Rwandan propaganda about who bears responsible for the massive tragedy that unfolded in Rwanda …but   the “official story” has   actually been unraveling for some time (although largely un-reported in the U.S. media).
Chief UN Prosecutor del Ponte in 2003: “ Rwanda ’s Leaders Guilty of War Crimes”
 
In the summer of 2003, Chief Prosecutor for the United Nations International Criminal Tribunals for Rwanda (ICTR), Carla del Ponte, publicly announced that she would soon begin prosecuting   members of Kagame’s Government for the same kinds of crimes charged in the French and   Spanish warrants.   But, nearly 5 years later not one case has been filed against one member of Kagame’s government, nor against Kagame himself.  
           
The del Ponte announced prosecutions did not go forward because she was replaced, within 90-days of her announcement, by Abubacar Jallow, a US/UK-approved Prosecutor who pledged not to prosecute on Kagame’s side….no matter what the del Ponte and the European judges’ findings!   Prosecutor del Ponte’s long-time press-aide, Florence Hartmann, published a book in Paris in September 2007, that explains exactly how del Ponte was replaced.
Chief UN Prosecutor del Ponte was called to Washington just after her 2003 announcement and threatened with removal from office by Bush’ “war-crimes ambassador”, Pierre Prosper, because of the political quid pro quo between Washington and the Kagame regime that is spelled out in detail in the book. (Ironically, Prosper was a former ICTR prosecutor under del Ponte, and must have had access to the same information motivated her announcement) .   When she refused to ignore her UN-mandate, to prosecute all crimes committed during the 1994 Rwanda War, she was sacked by the U.S. and U.K. [2]
 
 
ICTR Chief Investigator in 1997:
“ Rwanda ’s Kagame Assassinated Previous President” 
But this is not the first time that crimes of Kagame have been “covered-up” at the ICTR.   According to sworn affidavits placed in the ICTR record in early 2006, more than 10 years ago, ICTR Lead Investigative Prosecutor, well-respected Australian QC Michael Hourigan, recommended that Kagame, himself, be prosecuted for the assassination of Habyarimana.   But, in 1997, then-Chief UN Prosecutor Louise Arbour of Canada ordered him to drop the Kagame investigation; to forget it ever happened; and, to burn his notes !   Hourigan resigned rather than comply and copies of his original notes are now part of the ICTR public record for all to see. [3]
The “ Rwanda Genocide” Cover-up on Clinton ’s Watch
The Hourigan affidavit makes clear that the “Rwanda Genocide”– Cover-up has been going on for at least a decade…but the reasons for the cover-up did not become clear until late 2007, when a senior Clinton Administration diplomat, Brian Atwood, was confronted with UN documents describing a 1994 “cover-up” meeting with the Rwandan Foreign Minister in Kigali and the UN’s Kofi Annan. According to the UN documents, U.S.-sponsored human rights reports by investigator, Robert Gersony, had documented massive military-style executions of civilians by Kagame’s troops, during and after the final 90-days of the four-year Rwanda War. [4]
 The former Rwandan Foreign Minister at the meeting, Jean Marie Ndagiyimana, testified at the ICTR that, rather than participate in the proposed “cover-up,” he resigned and went into exile where he remains today. His ICTR testimony confirmed that Clinton’s USAID Chief for Africa, Brian Atwood, and the chief of the UN Department of Peace Keeping Operations Kofi Annan, were both in his office in late October 1994 urging him to assist in the “cover-up” the war-crimes committed by Kagame’s forces. [5]
The “Inconvenient Truth” Behind   the Cover-up :
  Pentagon Complicity in the 1994 Rwanda War
The damning “Gersony Report” included first-hand evidence of tens of thousands of civilians being massacred by Kagame’s troops in eastern Rwanda, later confirmed by similar reports by Human Rights Watch and Amnesty International.   The U.N. Document (also in the ICTR record) says that Annan told the Foreign Minister that public knowledge of the Report would be “embarrassing to the UN” and the U.S.   Former Clinton-diplomat, Brian Atwood, not only confirmed he was at the meeting, but explained that he had engaged Gersony, and that Gersony’s findings of war-crimes being committed by Kagame were “…an inconvenient truth”   for both the United States and the UN.
According to Atwood, unknown to the State Department, “the Pentagon had been supporting Kagame since before the 1990 invasion, when he was the head of Military Intelligence for the Museveni government of Uganda.” The “Gersony Report” tied the Pentagon to the crimes of Kagame’s invading, Pentagon-trained and funded forces.   More UN documents in the ICTR record reveal that the State Department was negotiating for a peaceful settlement of the war at the same time the Pentagon was supporting Kagame’s invasion.   The Clinton Administration to enlisted Atwood and Kofi Annan in keeping evidence of Kagame’s crimes from ever seeing the light of day, to prevent Pentagon involvement in the “Rwandan Genocide” from ever coming to light. [6]
The existence of a separate Pentagon foreign policy on Rwanda also tallies with the ICTR testimony of former Ambassador Robert Flaten, who testified that he seriously doubted that Habyarimana’s supporters planned to kill civilians on a massive scale because the CIA and other intelligence agencies would have reported it when he was in Rwanda from 1990 to late 93. [7]    He said that his requests for Pentagon-DIA spy satellite photographs showing the progress of the war in the countryside were turned down because of “clouds over Rwanda,” during his entire 3-plus years in Rwanda. [8]    He also noted that support from Uganda for the 1990 Kagame invasion coincided with increased Ugandan military funding by the U.S./U.K.   Flaten also testified that he personally warned Kagame that “he would be responsible for massacres like just happened in Burundi, if Kagame broke the cease-fire and re-started that war.
In short, the evidence that now is in the public record shows that during the 1994 Rwanda Genocide, the Pentagon could have stopped the carnage with a phone call….and the State Department apparently did not know enough about the Pentagon’s close ties to Kagame to ask them to do so, at least until USAID’s Atwood was informed of Pentagon reaction to the “Gersony Report,” in the summer of 1994.
Other de-classified State Department documents show that it was the invading Kagame forces that were the aggressors, and were blocking the State Departments efforts to implement the Arusha Accords, peace agreement. [9]   The UN’s General Dallaire has testified that Kagame would not agree to a ceasefire to use troops to stop the massacres because “he was winning the war.” [10]   And, now we know what Dallaire may not have known, until later…Kagame was winning with the Pentagon’s help.
The Great “Rwanda Genocide” Cover-up   Continues under Bush
The “Rwanda Genocide” – Cover-up of Pentagon complicity in Kagame’s crimes is almost complete, as the U.S. cuts Rwanda Tribunal funding to shut it down by the end of 2008.   Carla del Ponte’s replacement, Abubacar Jallow, will be conveniently unable to carry out the prosecutions that del Ponte urged in 2003, or those initiated by Judge Bruguiere in 2006, or Judge Ag____, just last week.
However, the international warrants are still in effect, the del Ponte book and Hourigan’s affidavit have begun to unravel the whole sordid manipulation… .but, unless the “Rwanda Genocide” Cover-up makes it onto Page One in Europe and North America, it may be too late for the ICTR detainees….who are being held responsible for the crimes of the Kagame regime, a bit like the UN holding the Japanese responsible for Hiroshima and the Germans for the fire-bombing of Dresden.
With U.S. and U.K. support, Kagame’s government is actively campaigning to have all ICTR matters transferred to Rwanda and has issued 40,000 warrants for Kagame’s   Hutu and Tutsi opponents in the worldwide Rwandan diaspora. (A movement that includes such as figures Paul Rusesabagina, the real hero of the Hotel Rwanda ).    

Correcting the Historical Record and Ending the Cover-up
But, I have to disclose my own bias because, under the laws of Rwanda , I too am a criminal “negationist” for writing this essay and President Kagame has personally denounced me as a “genocidaire” for my work as an ICTR defense lawyer.   My former investigator is seeking asylum in Europe and the ICTR Prosecutor who replaced Carla del Ponte is now prosecuting defense investigator for asking too many questions in Rwanda, but denounced Judge Bruguiere’s request for the UN to prosecute Kagame and Spanish Judge Abreau, as well.
An ICTR defense lawyer, like me, has to hope that, despite all that is now known about the manipulations of the ICTR by the U.S. and U.K. for their own political purposes, the ICTR Judges will not be influenced by the sacking of del Ponte and that they will carefully evaluate the evidence in my client’s case….but it is hard to be too optimistic.
At least my conscience is clear, now that the Great “Rwanda Genocide”— Cover-up has been exposed.   But, I wonder if the Judges, Prosecutors, other UN-ICTR officials (who now know about the manipulation of their best efforts) will be able to say the same, if they allow the ICTR “Rwanda Genocide”- Cover-up to continue? 
During the week’s festivities in Rwanda, the Presidents Bush and Kagame are sure to find much in common, as would Tony Blair, who has recently signed-on as an “unpaid”-advisor to Kagame.   All three stand accused of war crimes, and are mutually benefiting from the US/UK/Rwandan “cover-up” of their own complicity in the “Rwandan Genocide” tragedy….that should put all three in the dock at the UN-ICTR.
© Prof. Peter Erlinder, Wm. Mitchell College of Law, St. Paul , MN 55105 (651-290-6384) peter.erlinder@ wmitchell. edu .   Past- President of the National Lawyers Guild and is Lead Defence Counsel for former Major Aloys Ntabakuze in the Military 1 Trial at the ICTR, the central case in the Tribunal.   All of the documents and testimony referenced above are in the court record at the ICTR, except for the interview of Ambassador Brian Atwood, which occurred in December 2007 at his office at the University of Minnesota , Humphrey Institute.

[1]
The Economist , April, 2004 [2] Hartmann, Paix et chatiment: les guerres del la politique (2007 Flammarion, Paris)
[3] See Hourigan Affidavit and related documents in Miltary 1 record at the ICTR.
[4] See, UN documents in the Military 1 trial record at the ICTR.
[5] See ICTR Testimony of Ndagiyimana, November 2006, and related documents
[6] Interview with Dean Brian Atwood, Humphrey Institute, University of Minnesota , December 22, 2007.
[7] See Flaten ICTR testimony, July 2006.
[8] Interview with Robert Flaten in Arusha TZ, July 2006.
[9] See, April 1, 1994 Cable from U.S. Embassy in Kigali to Kampala Uganda in the ICTR Military 1 Trial Record.
[10] See ICTR Testimony of Gen. Romeo Dallaire and associated documents, January 2006.

Wednesday 12 December 2012

8 millions de congolais, rwandais, espagnols, etc. victimes des ordres directs du Bureau Oval et du Pentagon.

Chers freres et soeurs,

Veuillez lire le message ci-bas (si vous ne l'avez pas encore fait). La version anglaise est aussi disponible en bas.
Le Congo finira par s'affranchir de ses predateurs! Aluta continua!

Subject: [lecridesopprimes] LE CHANTAGE DE KAGAME A BILL CLINTON [Lire et faire circuler]
LE CHANTAGE DE KAGAME A BILL CLINTON.

Bill Clinton derrière le complot pré conçu dans le génocide au Rwanda
Il a non seulement refusé d'intervenir, il a activement cherché que cela se produise.

Le jour où Bill Clinton a atterri sur l'a

éroport de Kigali en Mars 1997 afin de rencontrer son ami Paul Kagame, le peuple américain et le reste du monde pensaient qu'il était là, pour des motifs de compassion. Eh bien, c'était une erreur! Bill Clinton a été très inquiet en raison de la découverte du secret de la tragédie du Rwanda. Ce jour-là, Clinton a réussi à prononcer un discours bien calculé, mais il trahit le profond de son cœur et omit de mentionner le génocide dans son allocution: «Il peut sembler étrange à vous ici, en particulier bon nombre d'entre vous qui avez perdu des membres de votre famille, mais les gens comme moi assis dans les bureaux, jour après jour, n'avons pas pu apprécier pleinement la profondeur et la rapidité avec laquelle ce terrorisme »inimaginable vous a engloutis. En dehors du contenu du discours, l'essentiel, ici, est le moment: c'était en Mars 1997! Vous rappelez-vous ce qui s'est passé quelques jours avant, à la fin de Février 1997? Eh bien, le juge du TPIR en provenance d'Australie, Michael Hourigan, dans le secret profond de ses enquêtes spéciales, a découvert que c'étaient Kagame et Bill Clinton qui avaient abattu l'avion de Habyarimana, déclenchant la tragédie du Rwanda. Michael Hourigan a eu peur de ressortir publiquement le nom de Clinton. Mais aujourd'hui, 16 ans après, dans une conférence vidéo donnée à partir de son pays natale- Australie , Hourigan estime qu'il est temps de dire la vérité au monde.


Alors, comment la vérité a été dévoilée? C'était le 26 Février 1997. De l'ambassade américaine à Kigali, l'enquêteur du TPIR Michael Hourigan (d'Australie) a fait le fameux «Appel téléphonique du Rwanda» à son patron à La Haye (Hollande), le procureur en chef du TPIR Louise Arbour (du Canada) pour lui faire connaissance des informations très sensibles qu'il venait de découvrir.. Immédiatement, la «Kind Lady» en pleine effervescence, appela New York pour informer le Secrétaire général Kofi Annan. Le «Cold Bath»: Kofi Annan savait, 2 ans avant, dans le bureau du ministre des Affaires étrangères Ndagijimana JMV à Kigali au Rwanda, que c'était Bill Clinton qui avait ordonné l'assassinat de Habyarimana et espérait que ces informations n'allaient jamais être dévoilées. Kofi Annan informa immédiatement Madeleine Albright, le Secretaire d"Etat de Clinton qui choisit Kofi Annan comme Secrétaire général de l'ONU en remplacement du «Frenchy» Boutros Ghali. Madeleine Albright atterrit dans le bureau ovale en peu de temps: «Monsieur le Président, notre action contre la France dans la tragédie Rwandaise est sortie.


Les enquêteurs du TPIR ont découvert que nous avons abattu l'avion »français. Ce fut le début de la longue histoire de cache-cache: Louise Arbour ordonna de licencier le Procureur du TPIR Michael Hourigan et de clore l' enquête. Kofi Annan reçut l'ordre d'envoyer au Rwanda Michael Hall des services sécurité de l'ONU afin d'organiser un départ rapide de Michael Hourigan du Rwanda. Puis, Bill Clinton ordonna à Madeleine Albright de mettre la pression sur les juges du TPIR et de ne pas enquêter sur l'incident qui a déclenché le génocide au Rwanda: le fait d'abattre l' avion d’Habyarimana. Ces ordres de prévention étaient-ils suffisants pour assurer l'esprit de paix à Clinton? L'idée d'être appelé, un jour, un Terroriste Americain fait mal: «Aucun Témoin NE DOIT Survivre». Personne ne doit savoir que j'ai abattu Habyarimana, un ancien haut aide de Clinton peut rappeler aujourd'hui.

Bill Clinton voulait rencontrer tout de suite Paul Kagame, son ami dans le terrorisme. «Oui, Monsieur le Président», ont répondu à l'époque Madeleine Albright et Susan Rice, comme les étudiants en classe. Quelques jours plus tard, Bill Clinton s'est posé sur l'aéroport de Kigali au Rwanda et, après le discours célèbre, il ordonna à Paul Kagame de tuer toutes les personnes qui peuvent connaître l'assassinat de Habyarimana, en commençant par les personnes figurant sur la note de service que Hourigan avait remis à Louise Arbour à La Haye quelques jours auparavant: c'était le début de la longue histoire d'assassinats à travers le monde et près de l'horloge. C'est dans cet esprit malin de camouflage classé par Bill Clinton que Seth Sendashonga et Théoneste LIZINDE, qui ont aidé les agents Clinton à abattre l'avion d'Habyarimana, ont été assasssiné à Nairobi, au Kenya, quelques semaines plus tard. Et récemment, Bill Clinton a conseillé Kagame d'assassiner le général rwandais Faustin Nyamwasa en Afrique du Sud et quand l'attentat a manqué, Clinton s'est rapidement rendu en Afrique du Sud pour faire pression afin étouffer l'affaire.


Mais comment Bill Clinton est devenu impliqué dans des actes terroristes derrière Kagame? «Le jour où le mur de la guerre froide a été abattu à Berlin en 1989 parmi les nombreuses festivités, le président français François Mitterrand ne savait pas que la France allait être la prochaine cible de l'American Empire. 20 ans plus tard à partir de là, l'image de cette guerre américaine Invisible contre la France est terrible: 12 millions de personnes tuées en Afrique francophone et un cas certifié du génocide au Rwanda. Et les victimes sont tous les Nègres africains. Alors, qui savaient? Et quand ils le savaient? Eh bien, malheureusement, l'homme qui le premier a eu l'idée infâme sur la table est notre Black Hero, le Général Colin Powell.


Tout commence le 25 novembre 1987, en Californie, sur les collines de Santa Ynez, Santa Barbara, au ranch du président Reagan. Le général est heureux de dire à son patron que la guerre froide avec les Soviétiques est terminée: «Monsieur le Président, le Kremlin n'a plus l'endurance nécessaire pour exercer, le secrétaire à la Défense George Shultz a conclu un accord nucléaire avec les Soviétiques d'hier». Le Président, dans toute excitation, invita le général de trouver un nouvel ennemi à combattre. Et le nouvel ennemi sera l'Empire Français en Afrique. Les ressources du Congo ont été désignées comme un trésor indispensable à saisir par tous les moyens, y compris les génocides. Comme un nouvel ordre venait de sortir de Washington, le président français François Mitterrand perçut la menace et pour prévenir, décida d'anticiper les changements. Il invita alors tous les présidents africains sous son contrôle à La Baule (France) et leur imposa un changement radical dans la gouvernance publique (démocratie), pour corriger ce qu'on appelle les «Erreurs françaises» dans le discours de Sarkozy à l'apologie du génocide de Gisozi Memorial (Rwanda) en Février 2010 , pour se conformer à la volonté de Mr.Kouchner, son ministre des Affaires étrangères et de son ami autoproclamé Paul Kagame.

Mais il était trop tard! Washington n'était pas intéressé par la démocratie en Afrique, Washington a été plutôt attiré par les immenses ressources minérales du Congo.

Bill Clinton est entré au bureau ovale au bon moment et avec les bonnes personnes. Mais il commit une grosse erreur en choisissant un homme sans instruction et soldat bébé ex: Paul Kagame. Le 1er Octobre 1990, comme le Président du Rwanda Juvénal Habyarimana a refusé de trahir les Français, le Pentagone décida d'envahir le Rwanda par l'Ouganda, se cachant derrière la rébellion du FPR. Ce jour-là, le Président Juvénal Habyarimana du Rwanda était à Washington et le Département d'Etat américain lui a offert l'asile en échange de donner tous pouvoirs à Kagame du FPR. Le Président a décliné l'offre et retourna au Rwanda. De Octobre 1990 à Janvier 1993, le Pentagone (Dick Cheney, Colin Powell) a aidé Kagame , en lui donnant tout ce dont il avait besoin pour renverser le gouvernement du Rwanda. Mais comme la France avait atterri ses troupes au Rwanda afin de faire pression pour les négociations et la démocratie entre le gouvernement rwandais et le FPR , Washington réalisa qu'il ne sera pas possible d'envahir le Congo avec un gouvernement démocratique au Rwanda: Washington a besoin d'un homme proxy au Rwanda. C'est ici que vienti un plan B: l'assassinat de dirigeants hutus!

En Septembre 1993, Bill Clinton ordonna le Pentagone et la CIA d' aider Kagame à assassiner le président hutu du Burundi, Melchior Ndadaye, voisin du Rwanda et allié de la France. Le 20 Octobre 1993, Kagame avec ses escadrons de la mort et agents de la CIA s'est rendu à Bujumbura: le président Melchior Ndadaye a été assassiné, coupé en morceaux avec des couteaux, la" méthode Kagame" de tuer ses victimes. Lorsque Kagame est retourné à Kampala quelques jours après de sa vilaine mission dans Bujumbura, il fut reçu par Brian Atwood, le directeur de l'USAID, pour finaliser le plan d'assassiner le Président Juvénal Habyarimana du Rwanda. Comme un informateur peut confirmer aujourd'hui, Kagame a hésité et a averti un Cataclysme au Rwanda si le président Habyarimana devait être tué comme son homologue burundais Ndadaye. Mais Bill Clinton, à travers son ambassadeur George Moose, dit à Kagame que l'assassinat de Habyarimana était le seul moyen de vite gagner la guerre. La CIA estima que 50 milliers de personnes allaient être tué à la suite de l'assassinat de Habyarimana, un sacrifice acceptable et un bon prix à payer pour une juste cause. Le Pentagone a promis de fournir tout le nécessaire à Kagame , y compris les renseignements et assistance militaire.

Kagame accepta le risque et invita LIZINDE et Kanyarengwe, deux rebelles hutus et anciens alliés du Président Habyarimana, de mettre en place un plan d'assassinat. Alex Kanyarengwe proposa un attentat contre l"avion de Habyarimana et Théoneste LIZINDE indiqua le meilleur endroit pour tirer sur l'avion présidentiel: Masaka Hill, près de l'aéroport Kanombe. En Décembre 1993, Kagame rencontra de nouveau Brian Atwood, Prudence Bushnell et l'ambassadeur américain George Moose: «Dites à Clinton que J'ai besoin d'argent et de» armes, un haut fonctionnaire de haut rang du FPR en exil se souvient aujourd'hui. Bill Clinton, en passant par Kampala, donna tout à la rébellion de Kagame: l'argent, les hommes, l'intelligence (renseignements) et des armes ont été livrées par les avions Hercules C130. Les tactiques politiques pour tuer Habyarimana ont été effectuées par le président ougandais Yoweri Museveni à la demande de Bill Clinton. Le président tanzanien Hassan Mwinyi a rejoint l'intrigue et le président Habyarimana a été forcé à se rendre à Dar-Es-Salaam le 6 avril 1994, pour une réunion infâme: Il ne reviendra jamais à la maison.


Donc, qu'est ce qui s'est passé ce jour-là? Le 6 avril 1994, Bill Clinton a ordonné au Pentagone l'envoi de 450 rangers US au Burundi pour aider les agents de la CIA au Rwanda afin d'exécuter l'assassinat en douceur. Ce jour-là, le matin, Madeleine Albright, l'Ambassadeur de Clinton à l'ONU, ordonna au général Roméo Dallaire (du Canada) qui était au Rwanda en tant que commandant des forces de l'ONU ,de faciliter le FPR et les agents de la CIA à voyager au parc national de l'Akagera, avec des véhicules de l'ONU, pour surveiller le retour de Tanzanie de l'avion de Habyarimana dans la soirée, et alerter l'équipe Terroriste à Masaka Hill pour se préparer à l'explosion en vol. Le même jour, le président ougandais Yoweri Museveni a reçu la commande de Bill Clinton pour s'assurer que le retour à Kigali de Habyarimana soit faite dans la nuit. A 20H 01', les espions de la CIAs détectèrent l'avion de Habyarimana au dessus du parc de l'AKagera , avertirent immédiatement le quartier général de Kagame à Mulindi et appelèrent les troupes américaines déjà stationnées sur l'aéroport de Bujumbura , puis l' ambassadeur des Etats-Unis au Burundi, Robert Kruer, pour être prêt pour une éventuelle catastrophe au Rwanda. De Mulindi,où était basé le quartier général du FPR, Kagame a envoya un message radio à l'équipe de terroristes déjà stationné à Masaka Hill pour se préparer à descendre l'avion ( Black Bag job).


A Washington, Bill Clinton était assis dans le bureau ovale, en attendant «Good» Nouvelles. A Kigali, le général canadien Roméo Dallaire éteint tous les téléphones et sa disparition, engagés dans des conversations secrètes avec des fonctionnaires de la CIA. A 20 heures 21, autour de l'aéroport de Kigali, le pilote Habyarimana, un français, par radio avec la tour de contrôle reçut l'autorisation d'atterrir. Mais lors de la descente de la piste, deux missiles ont décollé de Masaka Hill vers l'avion présidentiel. Personne à bord n'a survécu.

Les bonnes nouvelles arrivèrent à la Maison Blanche en un rien de temps et Antony Lake, Bill Clinton, conseiller national de sécurité est entré en ovale Office: Monsieur le Président, nous l'avons fait: le Congo sera américain. Quelques minutes plus tard, Robert Flaten, l'ambassadeur américain au Rwanda à l'époque, était au téléphone pour confirmer le rapport. C'était une joie dans la Maison Blanche et un jour triste aux Champs Elysées. L'objectifs ultime était de renverser la France en provenance du Congo et d'occuper les ressources minérales congolaises immenses. Bill Clinton a accepté de soutenir les rebelles Kagame et en retour Kagame agissant comme un proxy américain pour envahir le Congo et renverser le gouvernement Frenchy Mobutu. En Mars 1997, Clinton a atterri sur l'aéroport de Kigali et a prononcé le discours infâme. Puis, se cachant derrière Kagame, il a envahi le Congo, a tué 8 millions de personnes y compris les ressortissants espagnols, a renversé la France, et ils ont pillé les ressources du Congo: des centaines de millions de dollars US finirent dans la poche de Clinton et Kagame peut se permettre deux jets privés de luxe et un immense bâtiment à Londres avec Tony Blair en tant que co-titulaire de l'action.
Mais en Janvier 2009, quand Obama est devenu le président américain, Clinton et Kagame, qui étaient des amis dans des crimes, sont devenues ennemies à la justice. Pourquoi? Obama a ordonné à Kagame l'arrestation de au Congo du général Laurent Nkunda et Kagame en réaction complota pour tuer Obama, cherchant de l'aide de Clinton et de Tony Blair à abattre Air Force One, exactement de la même manière qu'il a fait pour éliminer Dr. Alison Des Forges. Lorsque l'information est devenue publique, sans doute que Obama le savait , Clinton avait lui-même pris la distance de Kagame. Dans le même temps, le TPIR a révélé les auteurs de l'assassinat de Habyarimana, et maintenant les familles des victimes sont en quête de justice dans les tribunaux. Le procès dans la cour d'Oklahoma est à la recherche de 350 millions dollars US pour la compensation dans cet 'assassinat terroriste sur l'aéroport de Kigali le 6 avril 1994, argent que Kagame ne peut pas se permettre. Mais Kagame a tué également 8 millions, y compris les ressortissants espagnols, au Congo lors de l'invasion illégale et l'occupation illégale de Bill Clinton ordre. Combien d'argent sera nécessaire pour compenser toutes ces victimes? Qui va payer, Kagame ou Clinton? Le juge espagnol estime Bill Clinton doit payer cet argent. Et l'homme Skinney de Kigali a compris et est prêt à accuser Bill Clinton devant la Cour si Hillary Clinton commence à le critiquer publiquement. L'homme fort de Kigali est en bonne position pour détruire l'Amérique. Et il a commencé à intimider les Etats-Unis publiquement: «Le (...), vous savez l'Ouest (...), Clinton m'ont ordonné de tuer Habyarimana (...), d'envahir le Congo (...), et maintenant il veut me faire face à la justice seul (...) ». Selon un haut responsable du FPR (Kagame Sevices Secret), plusieurs politiciens américains se trouveront devant la justice sur des accusations de terrorisme si Kagame est arrêté: Bill Clinton, Madeleine Albright, Bill Perry, Colin Powell, Dick Cheney, George Bush, Suzan Rice, Brian Atwood, Antony Lake, John Shalikashvili, Pierre Richard Prosper, Robert Kruer, Kofi Annan, Roméo Dallaire, Louise Arbour et beaucoup plus.
Alors, qu'en est-il de Kagame? Est-il un homme innocent? Beaucoup d'avocats en Espagne pensent que Kagame est un homme innocent. S'il est démontré que Bill Clinton a ordonné Kagame de tuer Habyarimana puis l"a forçé à envahir le Congo, Kagame ne peut pas être arrêté et toute la responsabilité retombe sur Bill Clinton. Conformément à la loi et la théorie de l'Agence, Kagame est un homme innocent, comme il a agi sur ordre de son principal Bill Clinton et Paul Kagame est en bonne position pour le démontrer.

Dans les coulisses, le cas de «Kagame vs Clinton» devant le tribunal est en train d'attirer de nombreux avocats à travers le monde. Parce qu'il est facile de défendre Kagame dans la salle d'audience, pour remporter l'affaire et des millions de dollars de trésorerie de Bill Clinton. Mais récemment, à Toronto (Canada), Bill Clinton a nié toute implication dans la tragédie du Rwanda. Était-il honnête? Il ya quelques semaines, j'ai posé cette question à l'un des anciens conseillers juridiques de Bill Clinton: Comment réagissez-vous à ces juges espagnols qui ont l'intention d'arrêter Clinton sur les accusations de terrorisme au Rwanda et au Congo en 1994 selon la "Théorie de l'agence"? «Eh bien, vous le savez, les théories sont belles mais dans la salle d'audience , elles ont besoin» de preuves.


Mais le juge français Jean Louis Bruguière m'a dit il ya plusieurs années: il ya suffisamment de preuves impliquant Bill Clinton dans l'assassinat de Habyarimana. L' avocat australienn et ancien Procureur du TPIR Michael Hourigan a confirmé le rapport. Ancien chef du TPIR, le Procureur Carla Del Ponte (Suisse) a confirmé l'implication de Bill Clinton. Kagame lui-même à compris le danger et il est probable qu'il est prêt à dire la vérité pour sauver sa vie. Et l'ancien ambassadeur américain au Rwanda Robert Flaten a confirmé que les Rangers américains stationnaient sur l'aéroport de Bujumbura, le 6 avril 1994: qui les a envoyés là-bas, que faisaient-ils là dans un pays francophone, et pourquoi ce jour-là?


«Personne ne sait le jour où Bill Clinton sera arrêté, mais déjà un juge Espagnol est prêt à un choc avec l'Amérique».


Source: Nazionale Audiencia, Madrid, Espagne

Tribunal de Hautes Instances, Paris, France


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READ AND ROTATE ...

THE BLACKMAIL OF A BILL CLINTON Kagame.

Bill Clinton behind the pre-conceived plot in the Rwanda genocide
He not only refused to intervene, he actively sought that happen.

The day Bill Clinton landed on a
irport Kigali in March 1997 to meet his friend Paul Kagame, the American people and the rest of the world thought he was there, for reasons of compassion. Well, that was a mistake! Bill Clinton was very worried because of the discovery of the secret of the tragedy of Rwanda. That day, Clinton was able to deliver a speech well calculated, but it betrays the depths of his heart and failed to mention the genocide in his remarks: "It may seem strange to you here, especially many of you who have lost family members, but people like me sitting in offices, day after day, have not been able to fully appreciate the depth and the speed with which terrorism "unimaginable you swallowed them. Outside of content of speech, the key here is time: it was in March 1997! Do you remember what happened a few days before the end of February 1997? Well, the ICTR judge from Australia, Michael Hourigan, in the secret depths of his special investigations, it was discovered that Kagame and Bill Clinton who killed Habyarimana's plane, triggering the Rwanda tragedy. Michael Hourigan was afraid to publicly highlight the name of Clinton. But today, 16 years later, in a video conference data from its native country, Australia, Hourigan believes it is time to tell the truth to the world.


So how the truth has been disclosed? It was February 26, 1997. U.S. Embassy in Kigali, the ICTR investigator Michael Hourigan (Australia) was the famous "Phone Call from Rwanda" to his boss in The Hague (Holland), the chief prosecutor of the ICTR Louise Arbour (the Canada) to make him aware of the highly sensitive information he had discovered .. Immediately, "Kind Lady" booming, called New York to inform the Secretary-General Kofi Annan. The "Cold Bath" Kofi Annan knew two years before, in the office of Foreign Minister Ndagijimana JMV in Kigali, Rwanda, that was Bill Clinton who ordered the assassination of Habyarimana and hoped that this information n ' would never be revealed. Kofi Annan informed immediately Madeleine Albright, Secretary of "State Clinton chose Kofi Annan as Secretary General of the UN to replace" Frenchy "Boutros Ghali. Madeleine Albright landed in the Oval Office in a short time:" Mr. President Our action against France in the Rwandan tragedy is output.

ICTR investigators found that we shot down "French. This was the beginning of the long history of hide and seek: Louise Arbour ordered to dismiss the ICTR Prosecutor Michael Hourigan and terminate the investigation. Kofi Annan was instructed to send to Rwanda Michael Hall of the UN Security services to organize a rapid departure of Michael Hourigan Rwanda. Then Bill Clinton ordered Madeleine Albright put pressure on the ICTR judges and not to investigate the incident that triggered the genocide in Rwanda: the shooting down of the plane of Habyarimana. These orders were preventing adequate to ensure the spirit of peace in Clinton? The idea of being called one day, one American Terrorist hurts: "No Witness MUST Survive." Nobody must know I shot Habyarimana, a former senior Clinton can recall using today.
Bill Clinton wanted to meet immediately Paul Kagame, his friend in terrorism. "Yes, Sir," answered the time Madeleine Albright and Susan Rice, as students in the classroom. A few days later, Bill Clinton landed at the airport in Kigali, Rwanda, and after the famous speech, he ordered Paul Kagame to kill anyone who may know the assassination of Habyarimana, starting with those listed on the memo Hourigan had given Louise Arbour in The Hague a few days ago: it was the beginning of the long history of assassinations around the world and around the clock. It is in this spirit of evil camouflage classified by Bill Clinton and Seth Sendashonga Théoneste LIZINDE who helped Clinton agents to kill Habyarimana's plane were assasssiné in Nairobi, Kenya, a few weeks later. And recently, Bill Clinton advised Kagame to assassinate Faustin Nyamwasa Rwandan general in South Africa and the attack failed when Clinton was quick to South Africa to pressure to hush up the affair.


But how Bill Clinton became involved in terrorist acts behind Kagame? "The day the wall of the cold war was shot in Berlin in 1989 among the many festivities, French President François Mitterrand did not know that France would be the next target of the American Empire. 20 years later from there, the image of the invisible American war against France is terrible: 12 million people killed in Francophone Africa and a certified case of genocide in Rwanda. And the victims are all African Negroes. So, who knew? And when they knew it? Well, unfortunately, the man who first had the idea on the table infamous Black is our Hero, General Colin Powell.

Everything begins November 25, 1987, California, in the hills of Santa Ynez, Santa Barbara ranch, President Reagan. General is happy to tell his boss that the Cold War ended with the Soviets: "Mr. President, the Kremlin no longer has the stamina to exercise, the Defence Secretary George Shultz concluded a nuclear agreement with the Soviets yesterday. " The President, in all the excitement, asked the General to find a new enemy to fight. And the new enemy is the French Empire in Africa. Congo's resources have been identified as essential to seize a treasure by any means, including genocide. As a new order coming out of Washington, French president François Mitterrand perceived threat and to prevent, decided to anticipate changes. He invited all African presidents under its control to La Baule (France) and imposed a radical change in public governance (democracy) to correct the so-called "French Errors" in Sarkozy's speech to the apology Gisozi Genocide Memorial (Rwanda) in February 2010 to comply with the will of Mr.Kouchner, the Foreign Minister and his friend Paul Kagame proclaimed.
But it was too late! Washington was not interested in democracy in Africa, Washington was more attracted by the immense mineral resources of Congo.

Bill Clinton entered the Oval Office at the right time with the right people. But he made a big mistake by choosing an uneducated man and soldier baby eg Paul Kagame. October 1, 1990, as President Juvenal Habyarimana of Rwanda refused to betray the French, the Pentagon decided to invade Rwanda from Uganda, hiding behind the rebel RPF. That day, President Juvenal Habyarimana of Rwanda was in Washington and the U.S. State Department offered him asylum in exchange for giving all powers to Kagame's RPF. The President declined the offer and returned to Rwanda. From October 1990 to January 1993, the Pentagon (Dick Cheney, Colin Powell) helped Kagame, giving him everything he needed to overthrow the government of Rwanda. But as France landed troops in Rwanda to push for democracy and negotiations between the Rwandan government and the RPF, Washington realized that it is not possible to invade the Congo with a democratic government in Rwanda: Washington man needs a proxy in Rwanda. It is here that vienti a plan B: the assassination of Hutu leaders!
In September 1993, Bill Clinton ordered the Pentagon and the CIA to help Kagame to assassinate the Hutu president of Burundi, Melchior Ndadaye neighboring Rwanda and ally of France. On 20 October 1993, Kagame with death squads and CIA agents traveled to Bujumbura: President Ndadaye was murdered, cut with knives, "Kagame method" to kill his victims. When Kagame returned to Kampala a few days after his ugly mission in Bujumbura, he was received by Brian Atwood, the director of USAID, to finalize the plan to assassinate President Juvenal Habyarimana of Rwanda. As an informant can confirm today, Kagame hesitated and warned a cataclysm in Rwanda when President Habyarimana was to be killed as his Burundian counterpart Ndadaye. But Bill Clinton, through its Ambassador George Moose, Kagame said that the assassination of Habyarimana was the only way to win the war quickly. The CIA estimates that 50 thousand people would be killed after the assassination of Habyarimana, a sacrifice acceptable and a good price for a good cause. The Pentagon has promised to provide all necessary Kagame, including intelligence and military assistance.

Kagame accepted the risk and invited LIZINDE and Kanyarengwe two Hutu rebels and former allies of President Habyarimana, implement a plan of assassination. Alex Kanyarengwe proposed an attack against the "plane of Habyarimana and Théoneste LIZINDE indicated the best place to shoot the presidential plane: Masaka Hill, near the airport Kanombe. In December 1993, Kagame met again Brian Atwood and Prudence Bushnell U.S. Ambassador George Moose "Tell Clinton that I need money and" arms, a high ranking official of the RPF in exile remembers today. Clinton, through Kampala, gave all Kagame's rebellion: money, men, intelligence (information) and weapons were supplied by Hercules C130 aircraft. tactics to kill Habyarimana policies were carried out by Ugandan President Yoweri Museveni at the request of Bill Clinton. Tanzanian President Hassan Mwinyi joined the plot and President Habyarimana was forced to go to Dar-Es-Salaam on 6 April 1994, for a meeting infamous He never returned home.

So, what happened that day? On 6 April 1994, Bill Clinton ordered the Pentagon to send 450 U.S. rangers in Burundi to assist CIA in Rwanda to execute the assassination smoothly. That day, in the morning, Madeleine Albright, Clinton's Ambassador to the UN, ordered General Roméo Dallaire (Canada) who was in Rwanda as commander of the UN forces, facilitate the RPF and the CIA to travel to Akagera National Park, with UN vehicles to monitor the return of Tanzania Habyarimana's plane in the evening, and alert the team to Terrorist Masaka Hill to prepare for the explosion in flight. The same day, President Yoweri Museveni has received the order for Clinton to make sure that the Habyarimana back to Kigali to be done at night. A 20H 01 ', the spies detected the CIAs Habyarimana's plane above the Akagera National Park, immediately warned headquarters in Mulindi Kagame and called U.S. troops already stationed on Bujumbura airport, then the Ambassador of the United States to Burundi, Robert Kruer, to be ready for a possible catastrophe in Rwanda. Mulindi, which was based the headquarters of the RPF, Kagame sent a radio message to the terrorist team already stationed at Masaka Hill to prepare to descend the aircraft (Black Bag job).

In Washington, Bill Clinton sat in the Oval Office, pending "Good" News. In Kigali, the Canadian General Romeo Dallaire off all phones and its disappearance, engaged in secret talks with officials from the CIA. At 8:21 p.m., around Kigali airport, the pilot Habyarimana, a French, radioed the control tower received permission to land. But during the descent from the runway, took off two missiles from Masaka Hill to the presidential plane. Nobody on board survived.
The good news came to the White House in no time and Anthony Lake, Bill Clinton, National Security Advisor became Oval Office: Mr. Speaker, we have: Congo will be American. A few minutes later, Robert Flaten, U.S. Ambassador to Rwanda at the time, was on the phone to confirm the report. It was a joy in the White House and a sad day to the Champs Elysées. The ultimate objective was to overthrow the Congo from France and occupy the vast Congolese mineral resources. Bill Clinton has agreed to support the rebels in return Kagame Kagame and acting as a proxy for U.S. invade Congo and overthrow the government Frenchy Mobutu. In March 1997, Clinton landed at Kigali airport and gave the infamous speech. Then, hiding behind Kagame, he invaded the Congo has killed 8 million people including Spanish nationals, overthrew France and looted Congo's resources: hundreds of millions of dollars ended up in the pocket Clinton and Kagame can afford two luxury private jets and a huge building in London with Tony Blair as co-holder of the share.
But in January 2009, when Obama became U.S. President Clinton and Kagame, who were friends in crime, become enemies to justice. Why? Obama Kagame ordered the arrest of the Congo General Laurent Nkunda and Kagame reaction plotted to kill Obama, seeking help from Clinton and Tony Blair to shoot Air Force One, in exactly the same way he done to eliminate Dr. Alison Des Forges. When the information became public, probably knew that Obama, Clinton himself had taken the distance Kagame. At the same time, the ICTR found the perpetrators of the assassination of Habyarimana, and now the family of the victims are seeking justice in the courts. The trial in the court of Oklahoma is seeking 350 million U.S. dollars in compensation for the killing of terrorist Airport Kigali on 6 April 1994, Kagame money can not afford. But Kagame also killed 8 million, including Spanish nationals in the Congo during the illegal invasion and illegal occupation of Bill Clinton order. How much money will be needed to compensate all the victims? Who will pay, Kagame or Clinton? Spanish judge says Bill Clinton must pay this money. And man Skinney Kigali understood and is ready to accuse Bill Clinton before the Court if Hillary Clinton begins to criticize publicly. The strong man of Kigali is in a good position to destroy America. And he began to intimidate the United States publicly: "The (...), you know the West (...), Clinton ordered me to kill Habyarimana (...), to invade Congo (...), and now he wants me to face justice alone (...) ". A senior RPF (Kagame Secret Sevices), several American politicians find themselves in court on charges of terrorism if Kagame is stopped: Bill Clinton, Madeleine Albright, Bill Perry, Colin Powell, Dick Cheney, George Bush, Suzan Rice Brian Atwood, Anthony Lake, John Shalikashvili, Pierre Richard Prosper, Robert Kruer, Kofi Annan, Roméo Dallaire, Louise Arbour and much more.
So what about Kagame? Is an innocent man? Many lawyers believe that Kagame in Spain is an innocent man. It is shown that Bill Clinton ordered to kill Habyarimana and Kagame "s forced to invade the Congo, Kagame can not be stopped, and all the responsibility falls on Bill Clinton. Accordance with the law and the theory of Agency , Kagame is an innocent man, as he acted on the orders of his chief Bill Clinton and Paul Kagame is poised to prove it.

Behind the scenes, the case of "Kagame vs. Clinton" in court is currently attracting many lawyers around the world. Because it is easy to defend Kagame in the courtroom, to win the case and millions of dollars in cash from Bill Clinton. But recently, in Toronto (Canada), Bill Clinton has denied any involvement in the tragedy of Rwanda. Was it fair? A few weeks ago, I posed this question to a former counsel to Bill Clinton: How do you react to these Spanish judges who intend to stop Clinton on charges of terrorism in Rwanda and Congo in 1994 as the "Agency theory"? "Well, you know, theories are nice, but in the courtroom, they need" evidence.

But the French judge Jean-Louis Bruguiere told me several years ago: there is enough evidence implicating Clinton in the assassination of Habyarimana. The australienn lawyer and former ICTR Prosecutor Michael Hourigan confirmed the report. Former Chief ICTR Prosecutor Carla Del Ponte (Switzerland) confirmed the involvement of Bill Clinton. Kagame himself understood the danger and it is likely that he is ready to tell the truth to save his life. And former U.S. Ambassador to Rwanda Robert Flaten confirmed that U.S. Rangers were stationed on Bujumbura airport on 6 April 1994, which was sent there, what were they doing in a francophone country, and why day?

"People do not know the day Bill Clinton is arrested, but already a Spanish judge is ready to shock with America."

Source: Audiencia Nazionale, Madrid, Spain
High court Instances, Paris, France